Le recrutement : sujet prioritaire de toutes nos organisations 🤝

Evidemment je ne vous apprends rien.
J’ai eu le plaisir de prendre la parole aux côtés de mes pairs pour le magazine Stratégies sur ce sujet justement.

Cette interview a été préparée avant l’été, le constat est toujours le même quelques mois plus tard.

Deux questions :

Comment attirer les meilleurs talents ?
Comment les garder ?

Cela commence évidemment par un exercice de réputation, de visibilité, de communication RH.
Mais cela passe aussi par le management, la manière de « donner envie », le cadre de travail, « le sens », la confiance.
Enfin, il y a aussi les facteurs exogènes : la crise, les guerres, l’approche des JO.
Qu’ils soient dramatiques ou positifs, ces évènements rendent incertaine et frileuse la démarche de recruter ou de changer de job.

Pour autant, nous n’avons jamais autant eu de remise en question profondes, de volonté d’avancer, d’urgence de se mobiliser pour ce que nous avons de plus importants : nos talents.

Lobster Communication est convaincu chaque jour de l’importance de parfaitement connaitre ses clients, et de parfaitement accompagner ses candidats.

La transformation passe aussi par la conviction, que travailler avec des acteurs experts sont primordiaux dans l’organisation d’une structure.

Etre entouré des meilleurs !

 

« Tout est Design »

Vendredi dernier, à l’occasion de la #ParisDesignWeek, notre nouveau homard spécialiste du branding et du design, Anne-Victoire, s’est rendue à la conférence « 𝐓𝐨𝐮𝐭 𝐞𝐬𝐭 𝐃𝐞𝐬𝐢𝐠𝐧 », animée par Sophie Grenier de Warrens d’ Extreme agency. 🎤🔊

Sophie a abordé plusieurs sujets passionnants comme l’inconscient collectif et le mécanisme des émotions, le pouvoir des mythes, la transmission de la culture, l’importance de l’innovation mais aussi la paupérisation et le lissage de l’identité des marques. 📢✨

Une matinée riche en inspirations, qui s’est prolongée autour d’un déjeuner sur le thème du miel et ses déclinaisons, réalisé à quatre mains par la cheffe #extrememiaaam Cathleen Clarity et Laurent Denize d’Estrées-Martineaud, président de l’agence 14 Septembre. 🍯👩‍🍳👨‍🍳

Une vraie source d’inspiration et un vrai délice pour les papilles. 😋

Encore merci à Guilhem Effroy et Extreme agency pour cette invitation 😊

Summer is the new recruiter ! 🌞🕶️

Ça sent la crème solaire en spray, on entend au loin le déploiement rapide et efficace d’une tente 2’, le flip flop des tongs à la sortie du grand bain. 🩴⛺🧴

A chacun son style et ses vacances, quoi qu’il arrive le summer break est bientôt là. 🏖️🚵

Depuis le début de l’année il s’en est passé des choses côtés homards 🦞

 

Des succès, des déceptions (quelques-unes), des recrutements (beaucoup), des rencontres fascinantes, des nouveaux clients, d’anciens (qu’on adore toujours autant). 🎆🤗✨

Bref, les homards vont se succéder pour se reposer cet été mais l’agence sera ouverte et il y aura toujours un homard de service pour vous répondre ! 🦞

La hotline du recrutement à pinces est active car nous avons la conviction que c’est souvent en vacances que l’on prend les meilleures décisions ☎️

  • Le choix de la glace la plus gourmande de 16h30 🍦🍧
  • L’heure d’un apéro rafraichissant bien mérité 🫒🍹
  • L’excursion d’après demain pour s’offrir une respiration 🙌🥾

Mais surtout souffler, prendre de la hauteur, se recentrer, et avoir le choix de se sentir libre et d’arbitrer. 😉🤸‍♀️

Donc cet été, nous sommes là, pour vous recevoir en entretien, échanger, vous conseiller, recruter, vous aiguiller pour engager une rentrée alignée. ✌️🤝

D’ici là, la full team est dispo jusqu’à fin Juillet ! 🦞🦞🦞

 

Table ronde pour la 1ère édition du Congrès de la Com’ Responsable

Il y a quelques semaines, Marie a eu la chance de partager une table ronde lors de la première édition du Congrès de la Communication Responsable.

L’occasion de parler des nouveaux métiers, des nouvelles attentes, des nouvelles normes, des nouvelles contraintes et des nouveaux enjeux.

Avec en toile de fond les sujets de RSE.

Merci Nicolas Turpin pour ta confiance.
Merci à aux partenaires de débat poke Cécile Speich and all the team.

Et vous, quelles dimensions RSE intégrer vous dans les sujets d’attractivité et de rétention des talents dans vos organisations ?

Pénurie de talents dans la com’, Marie vous dit tout !

Marie interviewée par Aurélie Planeix c’était vendredi dernier sur B SMART !
Au programme, un échange sur la pénurie de talents que rencontre notre secteur.

Quelles solutions?
Quelle vision pour demain?
Quelle stratégie aborder?

Le lien direct vers le replay : https://www.bsmart.fr/video/12185-be-smart-partie-25-fevrier-2022

Liberté, Egalité, Fragilité

Comment les crises successives ont-elles forgées de nouveaux schémas RH de notre société ?

Après un été à lézarder – presque normalement – sur le sable chaud, allant déguster une glace à 17H, siroter un rosé à 19H, et apprécier les longues soirées-débats sur le vaccin, pour ou contre les uri-trottoirs, jusqu’à l’avènement de la permaculture, nous avions toutes les raisons de nous attendre à une rentrée, presque normale, tranquille, sans nuage.

Ces vacances reposantes, la perspective d’une reprise de marché plus rapide,

Oui, mais cela était sans compter sur le fait que la crise sanitaire, la crise économique, allaient laisser la place à un troisième volet – lui aussi plein de suspens et de rebondissement – : la crise RH.

Cela fait de nombreuses années que je m’alerte sur la manière trop « traditionnelle » que nous avons de recruter, sur l’épuisement de nos talents, sur le non-renouvellement des compétences, sur le sens que nous portons et donnons.

Un patron m’appelle cette semaine (le ton bien désarmé), me disant « Marie, j’ai passé la Guerre du Golf, les attentats, la crise de 2008, la Covid 19, est-ce en 2021 que mon entreprise va s’éteindre à cause d’un sujet RH que nous n’aurons pas réussi à surmonter ? ».

Pour la première fois, je n’ai pas de réponse, aucune certitude, pas de solution, que des interrogations.

Car oui, on y est au Terminus, et pour repartir il va falloir trouver d’autres moyens de faire demi-tour, ou encore mieux, un nouvel aiguillage (une véritable stratégie RH par exemple ? To be meditated).

Ces crises successives nous ont d’abord plongé dans un élan de solidarité, puis d’individualité, puis de responsabilité collective. Ces enchainements rapides et inattendus nous ont imposés de très vite s’adapter, se sentant parfois un peu funambules de nos propres décisions.

Comme tous changements de caps rapides, s’impose la réaction (celle dictée par les forces extérieures, comme le confinement), tout en vivant à double vitesse la réflexion (celle que nous nous sommes accordée souvent pour la première fois en pensant à soi).

C’est un peu comme bâtir une maison sur une fondation « à peu près sèche » parce qu’on est pressé d’emménager.

On se dit que ça va passer, alors qu’au fond on sait que l’idée est clairement merdique.

Alors on repart, dans l’grand bain de notre quotidien. Sauf qu’on l’accepte moins bien, et tous les jours dans mon métier je fais le constat de ce monde des talents abimés, raréfiés, fragilisés.

Un cabinet de recrutement est un fidèle miroir de la société et notre raison d’être se joue dans le déséquilibre : trop de besoins/pas assez de candidats, trop de candidats/pas assez de postes.

Sauf que la crise RH de 2021 s’exprime sur le difficile constat d’une reprise avec des nombreux besoins de recruter, avec beaucoup de candidats à l’écoute ou disponibles mais avec des ambitions tout à fait différentes.

Fragilisation de nos entreprises, fragilisation des projets de vie, fragilisation des choix, fragilisation des perspectives, fragilisation des équilibres personnels, fragilisation d’un écosystème professionnel, bref, vous l’aurez compris, fragilisation et remise en question d’un modèle global, notre société est le théâtre de notre propre fragilité.

J’aime cette image du registre architectural de Châteaubriand disant que « tous les hommes ont un secret attrait pour les ruines. Ce sentiment tient à la fragilité de notre nature, à une conformité secrète entre ces monuments détruits et la rapidité de notre existence. »

J’aime à, humblement, transposer ce propos au sujet en disant que tous les hommes ont un secret attrait pour le délitement de notre société. Ce sentiment tient à la fragilité de notre nature, à une conformité secrète entre ces changements de société et la rapidité de notre existence.

Ce que je pourrai résumer à une urgence de vivre. Une urgence de vivre bien, de vivre mieux, de vivre apaisés.

Les détails qui changent tout sur un CV

On le sait, le CV c’est « la base », LE point de départ de toute recherche ou de tout process. 📝
Qu’est-ce qui accroche un recruteur dans un CV ? Qu’est-ce qui fait la différence par rapport aux autres ? Comment décrocher un entretien ?

Tapage Mag, le média made by My Little Paris, a interviewé Lola Morel, consultante chez Lobster Communication, pour vous donner quelques tips afin d’avoir un CV au top du top. ✨

Cliquez ici pour lire l’article !

You’ll always be our Lobster !

En cette fin d’année mouvementée, nous n’avons qu’une chose à vous dire : MERCI.

Merci à nos clients, merci à nos candidats, merci à nos partenaires qui nous ont fait confiance pendant cette période de crise.

Et parce qu’on mérite tous un peu de magie en cette fin d’année, nous vous proposons un kit digital « Bye Bye 2020 » à télécharger :

  • Un template de notre carte de vœux et un homard à imprimer pour décorer votre sapin à télécharger ici
  • Une playlist de Noël à écouter dès maintenant sur Spotify
  • Le jeu Concept à imprimer pour jouer à la maison par ici
  • Pas d’imprimante ? Pas de problème ! Jouez à Match5 directement sur votre ordinateur et en visio avec vos amis en cliquant ici
  • 4 recettes de chocolat chaud pour varier les plaisirs (n’oubliez pas les chamallows !)
  • Un code pour accéder directement à tous les films de Noël sur Netflix (on a une préférence pour Love Actually, à visionner sous un plaid évidemment)
  • Profiter de cette fin d’année pour prendre du temps pour soi : tester la méditation par exemple

Toute l’équipe Lobster Communication vous souhaite de très belles fêtes de fin d’année.

Prenez soin de vous et de vos proches.

Vivement 2021 avec vous !

Business Développement 2.0, une recette gourmande en pleine ébullition.

Article rédigé en écoutant « La Tendresse de Bourvil » entre autres.

 

Cette semaine, en échangeant avec un proche client, nous parlons de nos actualités, de nos business, et de sujets en sujets nous divergeons sur sa passion pour la cuisine (quoi de plus réconfortant en ces temps pimentés ?!).

En l’entendant en parler avec autant d’engagement, je prends tout à coup conscience que la cuisine, telle qu’il en parle, ses mots, ses tournures de phrases, sont une parfaite analogie de ce qu’est une bonne stratégie commerciale en temps de crise.

Je sais, vous allez encore penser que le four à trop chauffé, et pourtant.

Une stratégie commerciale réussie (à mon sens en tout cas) est, comme une bonne vieille recette de grand-mère, pleine de générosité, d’authenticité mais également de précision, pilotée étape par étape dans un objectif clair. Tout un art, un métier, un savoir-faire d’une grande noblesse.

Avoir les bons ingrédients, la bonne recette, les bons ustensiles, une technique affutée, le coup de main assuré pour une parfaite exécution et surtout une explosion de saveurs (et de succès).

 

Le métier de Commercial est souvent critiqué, voire même parfois moqué.

Le vendeur de tapis, le Jean-Claude Convenant, celui qui « veut vendre à tout prix sans foi ni loi », le rigolo de service qui passe son temps en déjeuners clients, j’en passe et des meilleures.

Pourtant il est la clé de voute de nos organisations.

Je m’étonne toujours de voir qu’en 2020 en France, il soit toujours aussi délicat de parler business développement (et avec ça bien entendu, d’argent, de contrats, et même de marge … quels gros mots !). Ironie du sort, par les temps qui courent, nous courrons tous après cette élégante vulgarité.

Et si comme la cuisine, le commercial devenait (de façon décomplexée) partie prenante de notre culture ?! Et si en temps de crise nous lui redonnions toutes ses lettres de noblesse ? Et qu’il devienne avec panache la cerise sur le gâteau de notre relance !

 

Mettons-nous le coup de fouet nécessaire pour ne pas réduire cette fonction clé au « quatre-quarts mass-market de bas de rayon », mais plutôt à une fine et complexe équation de saveurs au service de la réussite d’un projet commun qui fait briller la vitrine.

On le sait, on l’a déjà dit, la crise nous oblige à nous repenser, à nous rendre plus malins, à sortir de notre zone de confort et de nos habitudes pour nous réinventer.

Profitons de cette formidable opportunité pour tester, comme dans un laboratoire de cuisine, et adapter nos recettes à notre nouveau public au palet affuté.

Le(s) confinement(s) nous pousse(nt) à revenir à des pratiques fondamentales tout en greffant à nos méthodes de nouveaux usages auxquels nous étions, parfois, jusqu’alors réfractaires.

Revisiter nos approches commerciales avec la générosité et l’authenticité de basiques historiques, en dépoussiérant nos vieilles habitudes.

 

Le banquet est donc ouvert !

Faire corps avec son prospect pour créer une véritable brigade solidaire.

Mijoter, faire bouillir, se bruler, se couper, recommencer, ne rien lâcher, se tromper, puis y arriver.

Ajuster, avec bienveillance et positivisme son discours pour arriver au résultat attendu.

Changer les vieux plats en fontes lourds et poussiéreux (comme la prospection dans le dur) au profit de robots ménagers plus connectés (podcasts, vidéos, ou tout simplement prendre des nouvelles de son réseau 2.0)

Laissez reposer, deux/trois coups de cuillère à pot.

Servir chaud, pour ne pas rater le coche !

Dégustez, appréciez, félicitez-vous du travail réalisé.

Débriefez, en parler avec passion, et faire vivre l’histoire de son plat.

 

Je n’ai évidemment pas de recette miracle, je crois simplement que sincérité, courage, ambition et pugnacité sont le sel et le poivre de nos démarches commerciales. Revenons peut-être à la simplicité bien franchouillarde d’un déjeuner dominical en famille, là où – dans un monde « d’hier » – nous nous étions peut-être perdus dans une course effrénée et égotique de satisfactions sans saveur.

 

A toi JMP dont j’attends le livre de cuisine dédicacé.

A mon équipe qui s’accroche, pour nous, pour vous, par passion.

A nos passions, celles qui tiennent nos rêves.

Aux armes Génération Coronabimée ! (mais déterminée, au service de la relance)

Ça y est nous en sommes sortis, enfin presque, enfin on espère, enfin peut-être.

Sortis de quoi ? Pas certain que nous le sachions encore vraiment.

La lumière scintille, au bout du tunnel, comme un appel de phare vacillant et fragile, comme un espoir de retrouver « notre vie d’avant » tout en rêvant « notre vie d’après ».

Nous prenons tout juste conscience de notre petitesse face au monde, des failles de notre système, des brèches de notre moral(e). Mais bien mieux que l’instinct de survie, bien plus puissant que de s’accrocher à la vie, nous (re)cherchons notre liberté. Elle s’est envolée, dans ce confinement comme notre enfance, en un claquement de doigts, nous l’avons vécu sans le voir passer. Et tout d’un coup on s’est réveillé, dans un monde qui a changé.

Pied au plancher, pas le temps de la nostalgie, il faut se reconstruire, rebâtir, réapprendre à aimer dans une atmosphère pas tout à fait pareille, pas tout à fait aussi claire, pas tout à fait aussi rassurante.

Souvenons-nous, au nouvel an, quand nous trinquions avec notre vieil oncle Michel (oui, on a tous un Tonton Michel), on se promettait des projets, des bonnes résolutions, on écrivait sa vie sans y laisser aucun hasard et puis tout s’est écroulé comme de l’encre sur un vieux buvard.

Fichues grèves, fichu Corona, fichue crise, des négations à tout va dans les médias, des bad-news à tour de bras sur « Insta », un avenir que l’on se ne souhaitait pas ici ou là-bas.

Bon alors maintenant on fait quoi ?!

Après quasiment trois mois à repeindre, ranger, trier, faire le bilan de sa vie, télétravailler, se bousculer, s’adapter et picoler en apéro-visio sans vraiment se marrer, se déconfiner, on se dit que ce n’est pas vraiment la vie. Que l’on doit renouer avec la croissance mais en conscience.

On est en perte de repère, dans une galère quelque peu primaire, avec l’envie de prendre l’air.

Finalement on se dit que sans les autres on n’est pas grande chose, enfin oui et non.

Ici, deux visions s’affrontent :

Ceux pour qui le confinement et l’isolement sont une opportunité, voire même un nouveau projet de vie, une réalité assumée et recentrée sur l’essentiel/le distanciel.

Ceux pour qui le confinement et l’isolement sont un révélateur, un détonateur. Ceux qui croquent la vie à pleine dents, qui dépendent des gens, ceux que la vie de dehors attend.

Je fais partie de cette équipe. Sans surprise. Vous m’avez manqué, j’ai rêvé et imaginé la sortie, j’ai fantasmé la reprise, je comptais les jours pour réinventer avec vous, un quotidien moins enfermé.

Et là, le choc du déconfinement, avec des règles « un peu mais pas trop, beaucoup mais trop peu », trouver des codes nouveaux, redesigner sa vie, retrouver son bureau sans retrouver ses collègues, repenser son quotidien sans voir le sourire de ses interlocuteurs masqués, des sociétés abîmées, mais déterminées. Pour en découdre.

Il est temps de nous redéfinir, de nous réinventer, de devenir les architectes de nos codes de conduite, être les artisans de nos nouveaux repères, de prendre le mieux du « nous d’hier » et de le réinvestir dans le « nous de demain ». Se rassurer, positiver, se recentrer, pour mieux redémarrer.

Cette fichue crise est avant tout une fucking opportunité d’optimiser sa contrainte.

Faire tomber ses barrières, enlever son pilote automatique, s’écouter, apprécier, et passer à l’action, prendre des décisions. Bref, utiliser la crise comme un véritable moteur, être la nouvelle génération qui créera une nouvelle révolution (lisez bien ici r-évolution). Car il est venu le temps de l’évolution.

Ce coup d’arrêt est inédit, d’une violence inouïe et pourtant, il nous donne l’opportunité incroyable de montrer que nous sommes courageux, de nous dépasser et d’innover.

J’aime à croire que cette folle aventure est l’accélérateur d’une société encore meilleure qui rebat les cartes que l’on a en mains pour faire le choix d’investir différemment, et plus intelligemment.

Et si la performance laissait la place à la perfectibilité, et si la croissance laissait la place à la croyance, et si l’humain laissait la place à l’humanité. Le tout avec humilité et ambition.

Quel tournant fabuleux et quelle opportunité inratable de contribuer à la relance du monde de demain. A nous d’être aux commandes de la reprise. Quelle chance de pouvoir jouir de nos droits et de nos devoirs pour servir nos entreprises, nos équipes, nos clients, nos partenaires. En mieux, en encore mieux qu’hier.

Lors de nos douces soirées d’été, entre deux confinements probables, ne cherchons plus à retrouver nos vieilles habitudes. Cassons-les, sortons de notre zone de confort, car nous sommes les seuls à pouvoir faire qu’il n’y aura « plus jamais ça ».

Devenons des Darwinistes post Covid, et tentons à notre tour d’écrire la Théorie de l’évolution adaptée à une société responsable, emprunte de bienveillance au profit d’un capitalisme raisonné.

Mais surtout éclatons-nous, sans oublier que « le pouvoir et la richesse de chaque individu ne se limitent pas à ses ressources matérielles et à ses moyens de production. Chacun est avant tout riche de sa santé, de son savoir, des relations qu’il entretient avec les autres » (Jacques Attali).

A tous ceux qui me donnent chaque jour l’envie de contribuer à un monde meilleur.

Marie